EMPLOI : NOS PROPOSITIONS

Publié le par Christian Martin

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Quel avenir pour Draguignan ? Les Dracénois ont besoin d’un maire qui se bat pour l’emploi.
Draguignan doit devenir un pôle économique et pas seulement une ville résidentielle. En effet, « Une ville pour tous », c’est une ville qui se bat pour créer des emplois afin de garder ses jeunes et ses actifs. Une ville qui a une vraie stratégie pour attirer des entreprises nouvelles et aider les entreprises locales à se développer et prospérer. Or, à Draguignan, depuis 2001, rien de concret n’a été réalisé pour l’économie et l’emploi. Dans le même temps, Fréjus et St Raphaël ont continué d'avancer.

 

La municipalité Martin avait lancé une nouvelle zone d’entreprises à Ste Barbe près de l’Ecole d’Application de l’Artillerie (EAA). Elle avait acheté 25 hectares de terrains et engagé une procédure de ZAC. Cette opération a été stoppée net par le maire, M. Piselli, qui a affirmé publiquement que les entreprises nouvelles peuvent s’implanter aux Arcs ou au Muy, mais non à Draguignan dont la vocation doit rester résidentielle ! Voilà pourquoi, par la volonté de la municipalité, Draguignan, ne possède que la zone industrielle de St Hermentaire, créée il y a trente ans, saturée et partiellement inondable.

 

Certes, il est prévu depuis longtemps, aux Arcs, un pôle consacré aux activités de logistique et de transports sur la zone des Bréguières. On promet mille emplois en cinq ans. Mais, ce projet n’en finit pas de débuter. Il ressemble à la ligne d’horizon qui s’éloigne au fur et à mesure que l’on avance ! D’ailleurs, la décision de créer l’indispensable embranchement ferroviaire avec le réseau SNCF n’est même pas prise.

 

 

Rattraper le retard pris par rapport à Fréjus-St Raphaël

 

Pendant ce temps, les autres villes moyennes de France, de la région PACA et du Var ont avancé, pris des initiatives, innové. Ainsi, par rapport à Fréjus et St Raphaël, Draguignan a complètement décroché depuis sept ans. Ces deux villes qui avaient déjà des zones d’activités modernes et dynamiques, comme celle du Capitou, viennent de se doter de trois zones nouvelles dont le nouveau pôle Jean-Louis aménagé sur des terrains militaires et dédié aux activités d’ingénierie, de services et de formation. A la veille des municipales, leurs maires ne présentent pas que des promesses, mais surtout un bilan avec des réalisations concrètes en matière d’économie et d’emploi.

 

 

Rompre avec le choix de l’immobilisme et du tout immobilier

 

Il ne faut plus se contenter de vivre sur nos acquis : les emplois dans l’administration et l’armée, constamment menacés ; l’urbanisation systématique des terrains constructibles qui ne durera pas toujours. Il faut diversifier l’économie dracénoise. Créer les emplois permettant de garder nos jeunes et nos actifs. Produire les richesses qui permettront de financer les services dont la population, en forte croissance, aura un besoin grandissant.  

 

Nous proposons de :

 


-          reprendre le projet de la zone d’entreprises de Ste Barbe pour favoriser la création et le développement des entreprises ;

-          relancer l’aménagement de locaux d’entreprises dans le quartier Chabran comme prévu dans le projet initial de la municipalité Martin ;

-          développer de nouvelles formations professionnelles en liaison avec les besoins du territoire : nouvelles technologies, économies d’énergie, tourisme, médico-social, services à la personne ;

-          dès 2008, créer un Centre d’apprentissage (CFA) à Draguignan spécialisé dans les métiers du bâtiment : Christian Martin, conseiller régional, vient d’obtenir l’accord du président de la région PACA.   

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D
Mais non Olivier, vous vous trompez, Christian Martin a un Blog sur lequel les critiques sont admises, Gérard Pultrini a un site qui n'admet que des louanges.
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D
Mais non Olivier, vous vous trompez. Christian Martin y avait déjà pensé en 2000, donc bien avant Pultrini.
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O
Je viens d aller naviguer, sur le site de mr PULTRINI,etant donné qu avec mr MARTIN , ce sont les deux seuls candidats a avoir des sites. Et je me rends compte, que mr MARTIN a pratiquement repris les idees sur l emploi de mr PULTRINI car il a mis un article sur l emploi, le 10 janvier, et mr MARTIN, le 21 janvier. A bon entendeur salut.
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B
Bis repetita pour Doumé<br /> <br /> <br /> M. Piselli s’enorgueillit de l’évolution démographique de sa commune au point d’en faire la manchette de son bulletin communal et électoral. Les 40 080 habitants que Draguignan comporterait désormais permettront à la commune d’une amélioration substantielle de la DGF. Le nombre important de permis de construire délivré devrait également se traduire une augmentation du produit fiscal de la taxe d’habitation et de la taxe foncière. Tel est le satisfecit que s’octroie le maire au titre d’une politique passive qui ne prend en compte ni les charges induites ni les autres effets pervers d’un urbanisme non maîtrisé et délaissé à la promotion immobilière privée.<br /> En revanche, le potentiel fiscal provenant des entreprises et notamment de la taxe professionnelle revenant à la CAD ne l’intéresse plus. Le développement économique de Draguignan semble totalement délaissé aux initiatives de la CAD et les nouvelles entreprises reléguées aux Arcs et au Muy. Les espérances de développement se fonde notamment l’implantation hypothétique d’une gare TGV dans cette zone alors que le puissant maire de Toulon la souhaite au sein de son agglomération.<br /> La CAD constate par ailleurs dans revue d’octobre 2007 de « dracénie M@G » une « fuite significative des dépenses non alimentaires des habitants vers les pôles commerciaux de Puget-sur-Argens et Toulon ». Il ne faut pas compter sur le poids politique du versatile M. Piselli, singulièrement allégé depuis ses velléités sénatoriales, pour inverser la tendance.<br /> La gestion poussive de M. Piselli conduira t-elle nos enfants à travailler à Toulon, à Fréjus … et à habiter ailleurs qu’à Draguignan puisque son souhait est semble t-il d’en faire une ville résidentielle à l’image de Saint-Raphaël ?
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D
Georges, qui vous dit de ne rien faire ? Seulement, ouvrez les yeux, la Dracénie a une ouverture touristique incontestable et côté emploi, les artisans, les services de proximité...ont de beaux jours devant eux. Certes il ne faut pas se lamenter à la maison en attendant que les allocations tombent et vous verrez que la région peut s'épanouir avec une clientèle acquise d'avance, puisque retraitée avec un pouvoir d'achat non négligeable et souvent isolée de leur famille. Ne cherchez plus à comparer Fréjus et la côte à l'arrière pays, les enjeux ne sont pas les mêmes et surtout l'époque à bien changée. Décidément, sans être désagréable, vous avez toujours un métro de retard, car croyez moi les personnes ayant jaugé la situation en profite déjà depuis belle lurette. S'il faut vous faire un dessin, je suis prêt à vous donner les pistes. Mais arrêtez d'être pessimiste et ne tuez pas la poule aux oeufs d'or, si je puis m'exprimer ainsi (sans véxer personnes) nous avons tous besoin les uns des autres, ne l'oubliez pas !
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